12e salon du dessin érotique, commissariat de Laurent Quénéhen, à voir du 6 au 9 juin 2024. Visuel : Ouverture Tactile © Marajo-Miguel- 2021 (fusain et graphite sur papier 45 x 32 cm).
Un dessin est intéressant ou pas, comme un livre ou un film. Ce salon expose des œuvres et non pas des galeries, ni des artistes en fonction de leurs parcours, qui suit le plus souvent leurs origines sociales et leur talent de communicant. Reste la sélection, subjective puisqu’elle dépend de mes attraits du moment, à l’instar de Madame Verdurin qui listait ses invités suivant ses humeurs. Lorsque le salon fut créé il y a 12 ans, il était désuet car peu de tabous habitaient les expositions, la notion même de salon était surannée. Puis vint MeToo, les revendications LGTBQIA+, la question du respect pour tout un chacun. L’attention s’est élargie à la nature, aux plantes, aux petits animaux. Le « Droit du plus fort » tel que le dénonçait Rainer Werner Fassbinder ou Pier Paolo Pasolini dans « Salo » a perdu son aura. Plus personne ne peut malmener un animal et encore moins un être humain sans risquer les foudres des réseaux sociaux. C’est la théorie de la Ré-évolution, de l’égalité, reprendre l’Histoire depuis le début, avant la naissance des religions, des états et du pouvoir de quelques-uns sur le monde. Ce sont des dizaines, puis des centaines, des milliers de changements individuels qui modifient une société et l’érotisme se réinvente à Salo d’années en années.
Dans le cadre du festival Normandie Impressionniste, près de 60 propositions artistiques, vue du bateau, du paysage de la Seine. Les préoccupations des artistes leurs sont propres et les réponses proposées touchent le patrimoine (vivant et industriel), le paysage anthropisé, l’écologie, l’hydrologie… Grâce à ce panel très complet inhérent à notre fleuve, nous partons à la rencontre des habitants riverains, à voir jusqu'au 31 juillet.
© Miguel Marajo “Volubile en Seine” :
« Image brisée d’une époque, verbiage pissé sur révolte dont les remous persistent qu’on les dénoue perfide. Les vagues frisent sur la coque, les voiles hissées, pur kapok. En semblant, le Gouverneur figé plus qu’une feinte détermination. Ensemble, le gouvernail fixé sur un rien d’indétermination. Sombre devient l'avantage d’une bagarre engagée. L’ombre revient avec rage d'un bavardage entaché, si d’un retour bouillonnant, remarquable dicte ton détour, oubliant le partage.
Mais, est-ce que l’ordure ? C’est presque fort sûr mais pas tout à fait. N’est-ce pas vous effraie ? Si on ne retient pas qu'un paquetage s’imprègne, ici, on ne revient pas d’un voyage indemne.
Je suis la mer, ne l’oubliez pas, je suis l’amer, faut vous y fier là. »
6 février – 16 mars 2024 I Tropiques Atrium Scène nationale I Galerie André Arsenec I Fort-de-France I Martinique
L’exposition “Éclosions hardies” invite à un voyage dans les contrées fascinantes et captivantes de la recherche graphique et picturale à travers un itinéraire sensible où Miguel Marajo révèle, à sa manière toujours renouvelée, son inventivité, sa virtuosité, la distinction de son style, la vigueur pénétrante de son expression, en même temps que son engagement et son souci de l’humain. À travers un parcours qui raconte la construction de son œuvre, dévoile la quête dont se nourrit son processus de création, met en évidence ses préoccupations philosophiques, les enjeux esthétiques ou poétiques de sa démarche, ses motivations les plus essentielles et foncières.
Le TAKS d'HeadMade Factory à Saint-Martin (SXM) invite Miguel Marajo à faire une proposition sur le thème :
« D’où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ? » (d'après le titre d‘une œuvre de Paul GAUGUIN 1897-98)
Miguel Marajo traite des cheveux crépus, comme prétexte pour parler de la question de l’identité caribéenne, dans une démarche décoloniale.
L’identité caribéenne se construit à travers la texture de ses coiffures, courtes, longues, décoiffées, teintes, lissées, crépues, avec dreadlocks ; les cheveux, même rasés, ne sont pas anodins…
24I26 MARS 2023
DOMUS MAUBOURG, 29 bd de la Tour Maubourg, 75007 Paris
Cindy Olohou, historienne de l’art spécialisée en art contemporain, présentera une sélection de dessins inédits de Miguel Marajo.
Elle n’a pas de sujet, pas de médium et transcende la forme. Ni couleur, ni genre, ni météorologie. Elle ne milite pas, ignore les causes, épouse le Mal autant que le Bien, et pour celui cherche, se vautre parfois dans le vulgaire ou le laid. Alors pourquoi est-elle si rare, si fragile, si inattendue ? Pourquoi le pouvoir et la médiocrité chassent-t-ils si méchamment, telle une vérité indomptée, telle une dissidence, telle une permanente menace révolutionnaire forcément contraire à leur dessein cet instant qu’une révélation intime et silencieuse nomme encore La Beauté ?
Exposition : “Éditer pour ne pas rester dans le silence”
Commissariat de Pascale Obolo
avec les artistes : Miguel Marajo, Willys Kezi, Rafiy Okefolahan et Macina Camara.
22/05 – 16h30 Performance de Miguel Marajo “Mur mûr capillaire”
“Les murs qui s’érigent en frontières,
comme ces livres qui corrigent nos arrières.
Ces murs qui fleurissent sans bannières
dans les livres qui obligent nos manières.
Nos murs en pensées, perméables et pas fiers,
n’altèrent pas l’irrémédiable avancée vers
les rives d’où surgissent nos braves d’hier.”
22/05 – 11h Rencontre “Le livre d’artiste comme espace propice à la création d’une œuvre d’art” Intervenant.e.s : Barthélémy Toguo, Miguel Marajo. Modératrice : Armelle Malvoisin.
20/05 – 16h30 “Les révoltes silencieuses” Présentation de la dernière publication d’Afrikadaa Intervenant.e.s : Miguel Marajo (artiste), Jean-François Boclé (artiste), Jay Ramier (artiste) Modératrice : Pascale Obolo (Afrikadaa)
Ce deuxième acte éditorial live du numéro d’AFRIKADAA portant sur les révoltes silencieuses est pensé comme un voyage sonore. Sonorités discordantes ou accordantes, l'art sonore est souvent un art de l'affect. En portant un intérêt sur l’écriture visuelle et rythmique comme espace de résistance, il s’agit d’ouvrir un champ élargi ou sont convoqués l’expérience des lieux, les parcours et les dérives physiques, les récits et les narrations sonores et corporelles à travers l’exploration des mémoires. Cet événement sera l'occasion de partager des énergies, vivre des émotions, imaginer des fictions, penser les utopies de la révolte afin de revisiter des histoires passées, présentes ou futures en présence des artistes tels que : Jay One Ramier (peintre), Roger Raspail (musicien), Celia Faussart (chanteuse), Miguel Marajo (artiste peintre), Nadia Valentine (artiste peintre), Yann Cléry (musicien-poète), Kane Wung (danseur), David Démétrius (critique d’art), Paul-Aimé William (chercheur), Mo Laudi (plasticien-DJ), Flavien Louh (critique d’art), Dominique Pouzol (plasticien), Pascale Obolo (curatrice), Rocé (artiste).
L'acte éditorial live du dernier numéro de la revue AFRIKADAA sur le thème « des révoltes silencieuses » au sein du Palais de Tokyo sera pensé comme un champ d’expérimentation, de tremblement, de grondement rythmé par les messages au son des percussions où la tradition et la modernité se questionnent, se repensent, se traduisent et se retrouvent dans l’espace refuge de la mangrove ; d’où les artistes invités questionneront une poétique de la relation, de l’immatérialité et de l’acte de performer une revue.
“Cueillis au fil des trottoirs, sur des tas de gravas ou dans d’autres coins obscurs, des objets qui étaient voués à engraisser nos poubelles sont détournés.
Chaque détail, chaque aspérité de ces anciens déchets m’est familier. J’en connais toutes les aspérités. Peu à peu, leur complémentarité se révèle à moi et me permet de trouver la juste façon de les accorder.
Parfois surprenants de justesse, leurs agencements fortuits sont alors si parfaits, par leur concordance de formes, que ces objets peuvent devenir à nouveau fonctionnels. Une douille ou une ampoule suffisent ainsi à réactualiser leur utilité. D’autres objets, à l’inverse, occupent une position à part, éminemment esthétique à mes yeux. Dénués de toute fonction utile, ils offrent simplement au regard leurs étonnantes incongruités.”
Installation / Vidéo / Exposition / Performance sur une proposition des Colporteurs. Créations d'objets hors-norme, hybrides, improbables ou démesurés, issus des savoir-faire et des imaginaires de chacun.e. Sublime objet stimule l’imaginaire, l’expérimentation et la recherche. Commissariat de : Mô Mathey.
NUIT BLANCHE [2 OCT.] et EXPOSITION COLLECTIVE [1er-15 OCT.] à la Maison de l' Air, 27 rue Piat 75020 Paris dans le parc de Belleville.
Exposition au 6b de Saint Denis du 1er au 17 juillet, avec : Sonia Charbonneau (La Réunion), Soly Cissé (Dakar), N’Doye Douts (Dakar), Meek Gichugu (Kenya), Franck Lundangi (Angola) Cristiano Mangovo (Angola), Miguel Marajo (Martinique), Gastineau Massamba (Congo), William Sagna (Dakar), les Sœurs Chevalme (Paris), Tal Waldman (Paris), Lydia Ymel (Côte d’Ivoire) et Rachid Koraïchi (Algérie)
"J'ai imaginé une allégorie des vestiges du colonialisme qui sommeillent en moi, quand, d’une terrasse de café à Auxerre, j’ai vu surgir un homme vêtu tout de blanc arborant un casque colonial. Je voudrai manifester la volonté d’annihiler cette frontière qui s’est manifestée à l’intérieur de moi et qui peut exister aussi à l’intérieur de chacun d’entre nous." Miguel Marajo
Cet événement fait partie de la Semaine de l'Amérique latine et des Caraïbes.
FRONTIÈRES est une exposition conçue, curatée et produite par Les Nouveaux Collectionneurs (@LNC).
Par le biais d’un parcours en quatre temps, le public est plongé au cœur de problématiques contemporaines allant du politique au philosophique, du physique à l’imaginaire, du social à l’environnemental.
Dans un monde sans cesse soumis aux mouvements de contestation, les artistes sélectionnés apportent de l’esthétisme, une poésie bienvenue, mais explorent également sans relâche des pistes de réflexions et d’actions communs à approfondir pour inventer de nouveaux vivre-ensemble.
L’Oasis est une tentative d’archivage créatif immédiat des ateliers de La Colonie nomade, pensés et menés par Françoise Vergès avec Yazid Arifi, Thamy Ayouch, Amina Belghiti, Jean-François Boclé, Théo Castaings, Chris Cyrille, Fabiana Ex-Souza, Zas Ieluhee, Pierre-Antoine Irasque, Aminata Labor, Flavien Louh, Miguel Marajo, Olivier Marboeuf, Jamila Mascat, Nancy-Wangue Moussissa, Romina de Novellis, Pascale Obolo, Samir Ramdani, Ana Tjé, Melissa Thackway. L’Oasis a été pensée par Alexandra Eguiluz, Alix Hugonnier et Thomas Orbon et est menée par Alexandra Eguiliz. Après chaque séance de La Colonie nomade, sont proposés ici, des images, des poèmes, des propositions autour d’un faire ensemble pour réparer le monde, un échos aux moments vécus et pensés.
“Fragments of repair” / La Colonie nomade est un programme d'études collectif de trois mois conceptualisé et animé par la théoricienne politique, féministe et militante décoloniale Françoise Vergès.
Dans “Fragments of repair,” Kader Attia utilise la notion de "réparation décoloniale" comme tactique pour répondre aux urgences planétaires de santé mentale collective dans un monde durement affecté et blessé par la pandémie de Covid-19. La “blessure”, le “trauma” et la “réparation” sont des concepts clés dans la pratique artistique de Kader Attia, pour qui les injustices matérielles et immatérielles de la violence coloniale persistent dans le présent…
Présentée dans l’Agora Frantz Fanon de l’Hôtel de la CTM à Fort-de-France, cette exposition met en lumière un échantillon de la collection d’art moderne et contemporain de la Martinique et présente des moments charnières de l’histoire de l’art martiniquais et caribéen. Structure culturelle multi-sites, musée pluriel et intègre à la trame urbaine, le MACMA a une triple ambition de structuration, légitimation et dynamisation de la scène artistique en Martinique ; de création d’espaces de monstration et de diffusion accessibles à tous les publics ; de rayonnement et développement culturel du territoire, à visée professionnelle et touristique. À l’image du MACMA, l’exposition rassemble les acteurs du champ culturel, interroge les pratiques artistiques et muséales et initie des échanges avec la Caraïbe.
Souvent définie comme une limite qui naturellement ou par convention détermine une
étendue, la frontière est perçue comme un barrage, un point de séparation et un obstacle
à ne pas dépasser. Pourtant, comme l’écrit Edouard Glissant, aucune n’a résisté à l’irrépressible
volonté de les traverser : “Nous fréquentons les frontières, non pas comme signes et facteurs
de l’impossible, mais comme lieux du passage et de la transformation.”
(Le Monde Diplomatique, octobre 2006, p.16 et 17).
La frontière est un seuil, une étape du voyage.
Avec : Tamina Beausoleil, Nathalie Bibougou, Mauro Bordin, Marcos Carrasquer, Elsa Cha, Emilie Chaix, Dominique Chazy, Julie Dalmon, Frédérique Athenaïs-Dalmore, Delphine Ferré, Aurélie Galois, Justine Gasquet, Fanny Gosse, Violette Grosperrin, Marion Jannot, Dora Jeridi, Chloé Julien, Shalva Khakhanashvili, Nils L.L., Low Art, Miguel Marajo, Sandra Martagex, Marine Médal, Camille Moravia, Muriel Patarroni, Julie Perin, Joël Person, Charlotte Puertas, Vincent Puren, Alice Sfintesco, Nathalie Tacheau, Anne-Claire Thevenot, Albertine Trichon, Jola Zauscinska
GROUP SHOW I BRUXELLES I June 15 - September 7 2020
Thomas Agrinier, Leslie Amine, Jonathan Audin, Céline Berger, Fabien Boitard, Michel Castaignet, Cathy Coez, Caspar, Olivier Daquin, Michel Delacroix, Sebastien Delvaux, Sandrine Elberg, Elisa Fantozzi, Vanessa Fanuele, Jade Fenu, Harald Fernagu, Anne Guillotel, Yves Gobart, Rafaël Grassi, Fleur Helluin, Hervé Ic, Dialogist-Kantor - Coll R. Patt, Vincent Labaume, byLéon, Miguel Marajo, Julie Navarro, Johanna Perret, Philippe Perrin, Kévens Prevaris, Brann Renaud, Jimmy Ruf, Linda Roux, Saadi Souami, Catherine Viollet, Max Wyse, Brankiça Zilovic
George Floyd, a été tué par un policier avec la complicité de ses coéquipiers lors d'une interpellation le 25 mai 2020 à Minneapolis. La scène a été filmée par une témoin et fut immédiatement diffusée sur les réseaux sociaux. Ainsi, cet événement qui a bouleversé l'actualité internationale a été le déclencheur d'une prise de conscience qui dépasse les limites raciales dans le monde.
La réalisatrice Euzhan Palcy a contacté Miguel Marajo pour créer avec lui une œuvre en mémoire de cet événement et s'engager à toujours se souvenir de l'ultime sacrifice de George Floyd.
“Justice” Détail / Acrylique sur toile format 92 x 73 cm.
Copyright © 2020 Miguel Marajo / Euzhan Palcy / JMJ International Pictures.
Pour la troisième année HCE Galerie propose son salon du dessin, en parallèle à celui de Paris, avec des artistes internationaux : Sara.H Danguis (France-Macédoine), Douts ( France-Sénégal), Meek Gichugu (France-Kenya), Yoel Jimenez (Cuba-France), Franck Lundangi (Angola-France), Cristiano Mangovo (Angola France) , Miguel Marajo (France-Caraïbe), Gastineau Massamba (Congo), Catherine Olivier (France), Katayoun Rouhi (France-Iran) et Eizo Sakata (France-Japon).
Le subjectile, c’est le papier où s’inscrit la trace, s’imprime l’encre, se dessine la déchirure ou la brûlure de cigarette, la pulsion qui atteint sa cible et frappe votre regard…
“LA VIE DE L’ESPRIT”
EXPOSITION À BRUXELLES
« L’Approche » est une proposition curatoriale et prospective ouverte à la diversité des pratiques d’aujourd’hui et dédiée à la scène artistique, telle que les artistes eux-mêmes la voient.
« L’Approche » fait référence à la discipline de travail à laquelle Gérard Gasiorowski s’astreint de 1965 à 1969, d’où suivront l’ouverture expérimentale des années 70 – 86. Cette dernière période offre une magnifique introduction à la diversité des pratiques contemporaines, en peinture et au-delà de l’image.
“Elle court la chance d'être causée”, Huile sur toile, 2019 © Miguel Marajo.
La représentation du chien ou du chat comme défi dans la création picturale, avec Valerio Adami, Pat Andrea, Mateo Andrea, Mariano Angelotti, Caroline Aycart, Marcus Mc Allister, Nathalie Bas, Adrien Bonneterre, Marcos Carasquier, Anne-Flore Cabanis, Cecilia Capuana, Joël David, Alexandre d'Huy, Julien des Monstiers, Olivier Garandeau, Marc Golstein, Beatriz Guzman Catna, Thomas Ivernel, Christos Kalfas, Ayako Kawauchi, Atsoupe Kpognon, Jean Lancri, Raphaël Larre, Frédéric Léglise, Miguel Marajo, Hom Nguyen, Abel Pradalié, Agnès Patron, Régis Picart Rizzo, Cristina Ruiz Guinazu, Charlotte Salvanes, Giorgio Silvestrini, Luca Taro, Albertine Trichon, Jojo Wang,
Samedi 12 octobre de 16h à 22h et dimanche 13 octobre de 14h à 19h,
184 rue de Crimée 75019 PARIS.
Présentation des artistes samedi 12 octobre 2019 à 18h30.
La commissaire Pascale Obolo propose un acte éditorial live TRANS/MISSION à l'occasion de la sortie de la revue sous forme d’énergie performative à l'espace “Un lieux pour respirer”. Avec la participation de Chris Cyrille, Fabiana Ex-Souza, Michelange Ouay, Myriam Mihindou, Ana Bloom, Anna Tjé, Lomani Mondonga, Maïté Chénier, Anouch Adjarian, Patrick de Lassagne…
La galerie Marie Jaouen présente mes créations à l'Atelier Richelieu,
60 rue Richelieu 75002 Paris, du 29 mars au 31 mars.
Une sélection stimulante de l'art contemporain présentée d'une manière exubérante par la galeriste Berthe Schooner et ses conseillers Lydia Van Oosten et Henk logman.
L’exposition Utopies fluviales : prologue, est constituée d’une centaine de propositions encore à l’état de projets, une profusion d’esquisses, de notes ou de plans à réaliser, en devenir.
Les thèmes abordés par les artistes, architectes, écrivains et auteurs sont tout autant de résonances au lieu qui les accueille ici, qu’à d’autres fleuves, ailleurs, au delà des frontières, au delà du temps présent.
Organisé par le Festival Le Mois Kreyol et la Délégation aux Outre-Mer à l’Assemblée Nationale, ce colloque sera l’occasion pour nous de trancher un certain nombre de questions irrésolues qui entourent la coexistence de cultures du monde entier sur le territoire de la République. Présenté par Caroline BOURGINE, avec Audrey PULVAR, la productrice France ZOBDA, la galeriste Olivia MAËL BRELEUR et le plasticien Miguel MARAJO, la musicologue Françoise LANCREOT ou encore le réalisateur Jean-Claude BARNY…
Exposition de dessins dans le Ventre de la Baleine à Pantin, 23/24/25 mars 2018
Avec : Olivier CANS I Marie-Jeanne CAPRASSE I Julie CHABIN I Battiste COUTON I Anne DE NANTEUIL I Beatriz GUZMAN CATENA I Capucine HUMMEL I Anaïs LELIEVRE I Louisa MARAJO I Miguel MARAJO I Hélène MILAKIS I Julien PELLOUX I Marcel POLIN I Myriam SURIAM I Aurélie TOMA-BOUIL
Galerie SANAA / Jansdam 2 / 3512 HB Utrecht / The Netherlands
Carte Blanche de Myriam Mihindou / Miguel Marajo laisse apparaître des formes inconscientes émergeant de son introspection. Dans cette écriture il laisse libre cours à son imagination, un peu comme ce mariage entre le marc de café, l’eau et l’air… puis, dans un fragile jeu d’équilibre, le funambule, par petites doses impulse un sens à ce qu’il est nécessaire d’ajuster. Dessins – Série “Alors raconte”, 2013. Encadrés, Brou de noix sur papier, format 29,7 x 40 cm.
Une exposition initiée par "Dans le Sens de Barge" et produite par le MuséoSeine. Puis Les Imaginaires de l'Ile Lacroix à Rouen, Des Rives / Dérives au Havre et dans le Parc Départemental du Chemin de l'Ile à Nanterre du 17 au 25 juin 2017 / Au Tétris de Fort-Tourneville au Havre du 8 novembre au décembre. Commissariat : Christophe Cuzin et Véronique Follet…
Partir, prendre le large, couler, flotter, naviguer, dériver, traverser, pêcher, cartographier… sont autant de verbes autour du territoire de la Seine que d’ouvertures à l’imaginaire. Utopies fluviales – Prologue interroge le rapport, réel ou imaginaire, d’un fleuve avec ses berges, ses bateliers, ses pilotes, ses riverains et ses territoires.
Publication du livret édité à l’occasion de la dernière exposition personnelle de Miguel Marajo qui s'est déroulée d’octobre 2016 à juin 2017 à Houilles dans les Yvelines (France).
A la Galerie Joseph à Paris, 3 événements en 1
avec les plasticiens Miguel Marajo, Evans Mbugua, Rafiy Okefollahan, Fawzi Brachemi et Yao Metzoko, les stylistes Asako (Esperluette) et Nefer, les concerts de Patricia Essong et du quintet Les Soulmates.
Exposition personnelle à Houilles (France). Voir le catalogue.
Exposition collective d’artistes d’Amérique latine et de la Caraïbe : Frantz ABSALON, Victor ANICET, Eric BENOÎT, Leandro BERRA, Ernest BRELEUR, Christian BERTIN, Hope BROOKS, Jorge CAMACHO, Augustin CÁRDENAS, Mickaël CARUGE, Claude CAUQUIL, Gerado CHÁVEZ, Monique COCHET, Joaquim FERRER, FRANKETIENNE, Geneviève GALLEGO, José GAMARRA, Jean-Claude GAROUTE, Anabell GUERRERO, Norvillle GUIROUARD AIZEE, Mario GURFEIN, Alberto GUZMAN, Alfredo JAAR, Julieta HANONO, Serge HELENON, Wilfredo LAM, Louis LAOUCHEZ, René LOUISE, Olga LUNA, Miguel MARAJO, Jean MARIE-LOUISE, Cristina MARTINEZ, Federica MATTA, MATTA, Gabriela MORAWETZ, Alicia PENALBA, Pancho QUILICI, Antonio SEGUI, Sylvie SEMA, Luz SEVERINO, Philippe THOMAREL, Yann TOMA, Enrique ZANARTU / Commissariat par Sylvie GLISSANT, directrice de l’Institut du Tout Monde, Hélène LASSALLE, conservateur en chef honoraire du patrimoine et Catherine KIRCHNER-BLANCHARD, à la Cité Internationale des Arts à Paris.
Exposition à l'Espace Commines, 75003 Paris.
Le Hublot, Place Voltaire, 94200 Ivry-sur-Seine.
Exposition soutenue par Simon Njami / Galerie Maïa Muller Paris avec Omar Ba, Ronan Barrot, Kudzanai Chiurai, Damien Deroubaix, Ayana V Jackson, Miguel Marajo, Myriam Mihindou, Mega Mingiedi, Boris Nzebo, Berni Searle à la Galerie Maïa Muller, 75003 Paris.
Commissariat Jean Michel Marchais / Galerie Quai Est / Ivry-sur-Seine avec Miguel Marajo et Christophe Abadie, Anne Bertoin, Mathieu Boisadan, Thomas Bouquet, Jean-Baptiste Calistru, Christine Coste, Thomas Dreyfuss, Édith Dufaux, Laurence Egloff, David Joly, Christine Mathieu, Brann Renaud, Raphaël Vincenot, galerie Quai Est, 94200 Ivry-sur-Seine.
Commissaires : Saïdou Dicko et Gastineau Massamba avec : Miguel Marajo et Leslie Amine, Balbzioui Yassine, Nu Bareto, Isabelle Bitang, Anaïs Bourquin, Camara, Mamadou Cissé, Dominique Derda, Chanel Diagne, N’Doye Douts, Gueye, Mick Jayet, Richard Korbla, Marina Louetchi, Armel Louzala, Gastineau Massamba, Barthélémy Toguo, Pierre-Alain Uniak, William Wilson. Hôtel de Ville, 93 Pierrefitte.